Lou, ou l'art retrouvé de se rouler des pelles
Nous avons des amis formidables, parfois étranges. Comme celui-ci, qui nous appelle samedi pour nous informer qu'il a gagné des places de concert pour le soir-même mais que, hélas, il n'est pas libre pour y assister.
- Tu les as gagnées comment, les places ?
- C'était un jeu à la radio. Fallait appeler.
- Mais ... pourquoi as-tu appelé, si tu savais que tu n'étais pas libre ce soir ?
- Ben, j'ai appelé parce que, en principe, je gagne jamais. (...logique implacable...)
- ...
Bref, samedi soir, nous sommes allés voir Lou Doillon. On connaissait un peu l'album, très peu la chanteuse. Sinon au travers de quelques films, où l'on se mêle entre elle, sa soeur Charlotte et sa mère Jane. Une nana supra symapthique, au charme fou, le genre bonne copine à la voix rauque, trop parfois quand elle chante, mais qui nous raconte des trucs sympas. Comme par exemple, qu'elle aime bien quand le public danse, ou chante "vous pouvez faire semblant, si vous connaissez pas les paroles, j'aime bien aussi. Mais ce que je préfère par-dessus tout, ce sont les amoureux qui se roulent des pelles. N'hésitez pas surtout, j'adore !".
Se rouler des pelles...
Et hop, Mon Mec et moi.